Entre Paris St-Lazare et Bougival - mercredi 12 novembre 2008
mercredi 12 novembre 2008
Cela fait aujourd'hui quatre jours que M. a été opérée à La Pitié-Salpêtrière.
Ma visite quotidienne à l'hôpital terminée, je rentre chez les amis qui m'hébergent, en banlieue. À la gare Saint-Lazare, dans le train, l'heure de pointe est passée.
L'homme est fatigué, visiblement très fatigué. Il s'endort en cours de route...
Ce n'est pas le premier que tu surprends dans son sommeil, je me souviens de celui perdu dans ses rêves un bouquet à la main.
RépondreSupprimerEffectivement Bruno, sur l'ancien "One shot..." pour le billet du samedi 7 novembre 2009, à l'adresse http://alpo66.free.fr/index.php?2009/11/p2
RépondreSupprimerL'homme/femme qui dort est toujours touchant, abandonnant ses défenses habituelles, redevenant vulnérable... à la manière d'un enfant (?), parti ailleurs, très loin...
C'est une très belle série que tu inaugures (?) avec ce sujet de "l"homme qui...". La simplicité est vraiment une source de sujets touchants, émouvants, mais il faut être déjà un adulte accompli pour savourer la simplicité et savoir la rendre.
RépondreSupprimerJe suis toujours étonnée de voir comme tu as précisément daté les photographies, alors que je n'y prête jamais attention. Voilà une étrange interrogation ;)et merci pour le lien vers ce tout jeune homme et son bouquet de fleurs, presque un enfant encore.
Sylvie