Paris - mercredi 5 novembre 2003
29/06/2013
27/06/2013
25/06/2013
En direct du Barbizon
Le Barbizon (1)
Le Barbizon ... C'est une histoire que l'on ne peut raconter en un seul billet tant elle comporte de ramifications, tant son histoire rhizomique nous emmène très loin, là où était le cinéma originel.
Sur le site du Barbizon, l'histoire s'arrête en 2006, l'année où les contraintes économiques faisaient de nous (M. et moi) des expat's définitifs (enfin, on ne sait jamais !). Depuis j'ai perdu de vue le Barbizon, comme on oublie un peu les outrances d'une jeunesse passée.
Qu'est devenu le Barbizon ?
Le Barbizon (2)
J'avais, un jour de représentation "alternative", fait quelques photographies en numérique (E4500). Je me souviens que la salle était très froide, c'était l'hiver, sans chauffage (il avait été recommandé de se munir de vêtements chauds qui hélas ne suffirent pas à compenser l'air glacial qui s'infiltrait par toutes les ouvertures - on n'était pas loin d'un cinéma aux étoiles).
Je ne peux dater cette séance de projections. Le fichier exif indique le 8 novembre 2003, alors que l'agenda, sur le site du Barbizon, indique le 15 ou le 29 novembre 2005 pour ce qui était une séance dont, par contre, j'ai le souvenir précis de la programmation. Les films étaient ceux de membres de l'Abominable (le labo minable - qu'est-il donc devenu l'Abominable ?), avec entre autres Pip Chodorov et Nicolas Rey (j'ai parlé un jour... sur un blog sans doute, de son film "Les soviets plus l'électricité" que j'ai eu le privilège et le plaisir de voir deux fois - sur google, si l'on recherche des renseignements demander "nicolas rey cinéaste"). D'ailleurs Nicolas Rey était là, d'où ma certitude. Alors, pour la date... 2003... 2005... allons-y Alonso !
Voilà voilà... ça n'a sans doute pas intéressé grand monde, mais cela m'a fait plaisir de vous le dire.
P.S. Un site qui peut vous intéresser : p_cote
LIBELLÉ :
au fil des jours...,
cinéma,
paris
22/06/2013
As tears go by
Cabestany - dimanche 26 mai 2013
It is the evening of the day
I sit and watch the children play
Smiling faces I can see
But not for me
I sit and watch
As tears go by
I sit and watch the children play
Smiling faces I can see
But not for me
I sit and watch
As tears go by
(m. jagger/k. richards)
C'est la fin de la journée
Je suis assis et regarde les enfants jouer
Je peux voir leurs visages sourire
Mais pas pour moi
Je suis assis et je regarde
Alors que coulent les larmes
Je suis assis et regarde les enfants jouer
Je peux voir leurs visages sourire
Mais pas pour moi
Je suis assis et je regarde
Alors que coulent les larmes
LIBELLÉ :
au fil des jours...
21/06/2013
Des images qui chantent...
Place de la République / Perpignan - jeudi 21 juin 2007
Retrouvée quasiment par hasard, mais opportunément, cette "chute" qui constitue le tout, à l'état brut, d'un plan ramassé là, comme ça, au vol...
Je n'oublie pas que "Chaque photo est aussi le premier plan d'un film" (W. Wenders) comme le rappelle si justement la couverture intérieure de "6 mois" .
La fin comme le début sont un peu "cut" (genre brutal). Évidemment, avec un post-traitement ad-hoc ça serait plus digeste, mais... mais...
20/06/2013
18/06/2013
Petit paysage en noir et blanc (21)
Ponteilla - jeudi 2 février 2009
Once upon a time...
C'est par ces mots que commençait le premier texte en anglais que nous fit apprendre un professeur-spectacle, aimé et chahuté à la fois, alors que nous entrions en 6ème.
Il s'agissait de "Red Riding Hood", le petit chaperon rouge.
Je n'ai pas complètement oublié les premières phrases de ce qui était une version personnelle de l'histoire. Ce professeur, par sa façon éclatante de nous le déclamer, faisait si bien qu'aujourd'hui encore je m'en souviens.
Once upon a time...
Cette photographie est ce qui reste d'une gare de chemin de fer. La cave coopérative se situe un peu plus loin, sur la droite. La voie ferrée a laissé la place à une piste cyclable.
Once upon a time...
C'est par ces mots que commençait le premier texte en anglais que nous fit apprendre un professeur-spectacle, aimé et chahuté à la fois, alors que nous entrions en 6ème.
Il s'agissait de "Red Riding Hood", le petit chaperon rouge.
Je n'ai pas complètement oublié les premières phrases de ce qui était une version personnelle de l'histoire. Ce professeur, par sa façon éclatante de nous le déclamer, faisait si bien qu'aujourd'hui encore je m'en souviens.
Once upon a time...
Cette photographie est ce qui reste d'une gare de chemin de fer. La cave coopérative se situe un peu plus loin, sur la droite. La voie ferrée a laissé la place à une piste cyclable.
Once upon a time...
LIBELLÉ :
ici,
paysage d'ici,
petit paysage en noir et blanc
13/06/2013
04/06/2013
02/06/2013
01/06/2013
Inscription à :
Articles (Atom)