La Jonquera - janvier 2011
31/12/2012
30/12/2012
Note de service
À partir du lundi 17 décembre 2012, durant une durée limitée, le blog "funambulist" reprend du service pour une épopée encore plus extraordinaire que la précédente... Si si, c'est possible !
Je plaisante, mais cela me fait plaisir de vous présenter cette série "Le voyage d'automne 2012", tout simplement (je ne me suis guère préoccupé de la qualité "artistique" des photos sélectionnées), sans tambour ni trompette.
29/12/2012
27/12/2012
25/12/2012
23/12/2012
21/12/2012
20/12/2012
18/12/2012
16/12/2012
14/12/2012
13/12/2012
11/12/2012
10/12/2012
09/12/2012
07/12/2012
05/12/2012
03/12/2012
02/12/2012
30/11/2012
27/11/2012
26/11/2012
25/11/2012
22/11/2012
20/11/2012
Éloge de la disparition
Rivesaltes - mai 2011
« Tombent les fleurs, coule l’eau,
mystérieuse voie…
L’autre monde est là,
non celui des humains. »
mystérieuse voie…
L’autre monde est là,
non celui des humains. »
Li Bai (alias Li Po)
Je m'aperçois seulement maintenant que cette photographie de la disparition progressive du camp de concentration de Rivesaltes a été faite le même jour, une heure seulement après la précédente, "Un mur de briques", sans que j'y vois là une quelconque opposition, une quelconque correspondance. À tout point de vue... et jusqu'au fait que l'une ait été faite en couleur et l'autre en noir et blanc - j'en tire un point de vue personnel sur l'utilisation de l'un ou de l'autre de ces procédés selon le sujet photographié.
P.S. J'ai rencontré le poème et le poète par hasard
LIBELLÉ :
ici,
lieux,
point(s) de vue
17/11/2012
15/11/2012
14/11/2012
Dans l'absolu... la Salveterra
Opoul-Périllos - décembre 2010
Cet automne-ci
pourquoi donc dois-je vieillir ?
oiseau dans les nuages
pourquoi donc dois-je vieillir ?
oiseau dans les nuages
(Basho Matsuo)
LIBELLÉ :
au fil des jours...,
ici,
lieux,
paysage d'ici
11/11/2012
09/11/2012
07/11/2012
05/11/2012
02/11/2012
31/10/2012
30/10/2012
Le regard
Paris XII - samedi 19 mai 1984
Publié dans Libération n°1598 daté du jeudi 10 juillet 1986, p. 33
(also as #134#)
LIBELLÉ :
au fil des jours...,
filles,
paris,
street photography
28/10/2012
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23/10/2012
21/10/2012
19/10/2012
17/10/2012
15/10/2012
12/10/2012
10/10/2012
Paradis perdu
Portbou
Dimanche 7 octobre 2012
C'est une photographie récente. Une photographie pour laquelle je n'ai eu aucune hésitation, ni lors du déclenchement, ni ensuite à la lecture dans son évaluation.
Comment dire l'évidence de mon émotion et dans le même temps la souffrance de la disparition. L'impression douloureuse de revenir, périodiquement, sans cesse, à ce manque.
Alors la photographie deviendrait inutile. Toute photographie en regard de celle-ci ne vaudrait pas la peine d'être prise. Il faudrait arrêter puisqu'à chaque fois il ne s'agirait que de faire ressurgir ce qui a disparu.
Je n'ai plus, par instant, que le désir de laisser l'appareil photo de côté et de m'assoir sur le rivage. Les Albères plongent en Méditerranée, aucun vent ne trouble la surface des flots et la jeune fille est là. Sans elle tout ceci n'existe pas.
C'est une photographie récente. Une photographie pour laquelle je n'ai eu aucune hésitation, ni lors du déclenchement, ni ensuite à la lecture dans son évaluation.
Comment dire l'évidence de mon émotion et dans le même temps la souffrance de la disparition. L'impression douloureuse de revenir, périodiquement, sans cesse, à ce manque.
Alors la photographie deviendrait inutile. Toute photographie en regard de celle-ci ne vaudrait pas la peine d'être prise. Il faudrait arrêter puisqu'à chaque fois il ne s'agirait que de faire ressurgir ce qui a disparu.
Je n'ai plus, par instant, que le désir de laisser l'appareil photo de côté et de m'assoir sur le rivage. Les Albères plongent en Méditerranée, aucun vent ne trouble la surface des flots et la jeune fille est là. Sans elle tout ceci n'existe pas.
LIBELLÉ :
au fil des jours...,
ici,
paysage d'ici,
paysage frontalier
07/10/2012
Les escaliers de la gare
Portbou - dimanche 18 mai 2008
Portbou et son alter ego frontalier Cerbère me sont devenus, au fil du temps, des endroits familiers.
Peu ou pas grand chose à voir, en tout cas rien de grandiose.
C'est peut-être ça d'ailleurs, avec cette frontière et ses contrôles épisodiques mais quelquefois agressifs, avec ces deux gares terminus où les trains de marchandises se forment, des gares qui concentrent, peut-être de manière illusoire, à peu-près toute les activités locales, qui me font y revenir assez souvent alors que je n'ai rien à y faire.
On croise dans ces gares des individus improbables, certains ballottés d'un endroit à peine connu à un autre inconnu, toujours en transit quelque part, d'autres en voyage sans but... des histoires de travail, de combines, de familles éclatées. On parle un peu n'importe quelle langue, on essaie juste de se comprendre un peu, de ne pas se tromper de destination. On profite du buffet de la gare de Portbou toujours accessible pour una ración de tortilla con patatas, que l'on prendra au milieu d'ouvriers de la RENFE, du bruit des machines à sous et de la vie dans cette solitude tout alentour.
De la gare, seul un escalier plonge au cœur du village.
LIBELLÉ :
au fil des jours...,
ici,
lieux,
paysage frontalier,
sur la route...
04/10/2012
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