Apparemment, comme hier, la photo serait animalière. Avec un déplacement malgré tout du sens. L'animal domestiqué a été remplacé par l'animal capturé dont la prison n'est pas un royaume ;)... hélas pour lui ! Les deux fils électriques d'hier ont laissé la place à une ferronnerie qui, sans être d'art, n'en semble pas moins robuste. Ces lion/lionne semblent aussi impavides que les chevaux... ils profitent du soleil de ce décembre-là, tranquillement "nus... au soleil...la la la" et regardent, sans invoquer un imbécile "droit à l'image", le photographe qui passe par là... ou plutôt passait il y a vingt-huit ans... Mais au train où vont les choses, demain sera-t-il en rupture ou bien une énième déclinaison narrative du monde animal ? J'ai à la fois un peu peur (!! bien dit) et en même temps suis très impatient de savoir... Je ne discute pas le titre, bien que la "référence" deleuzienne soit assez approximative sachant que le "devenir deleuzien" n'est ni une reproduction, ni une imitation... et toc ! De toute façon, on n'est pas là pour parler de ça !
;) C'est bien de lire ses images. J'ai dans mes archives des chiens , des petits clebs parce que je leur dis bonjour dans la rue , comme Vian : " J'avise un chien dans la rue Je lui dis: comment vas-tu, chien ? Croyez-vous qu'il me répondrait ? Non ? Eh bien il me répond quand même Et ça ne vous regarde pas Alors quand on voit des gens Qui passent sans même remarquer les chiens On a honte pour leurs parents Et pour les parents de leurs parents Parce qu'une si mauvaise éducation Ca demande au moins...et je ne suis pas généreux Trois générations, avec une syphilis héréditaire Mais j'ajoute pour ne vexer personne Que bon nombre de chiens ne parlent pas souvent." Mais enfin, nous n'étions pas là pour parler de ça. Alors, demain, animal ou pas ? Sylvie
Apparemment, comme hier, la photo serait animalière. Avec un déplacement malgré tout du sens. L'animal domestiqué a été remplacé par l'animal capturé dont la prison n'est pas un royaume ;)... hélas pour lui !
RépondreSupprimerLes deux fils électriques d'hier ont laissé la place à une ferronnerie qui, sans être d'art, n'en semble pas moins robuste.
Ces lion/lionne semblent aussi impavides que les chevaux... ils profitent du soleil de ce décembre-là, tranquillement "nus... au soleil...la la la" et regardent, sans invoquer un imbécile "droit à l'image", le photographe qui passe par là... ou plutôt passait il y a vingt-huit ans...
Mais au train où vont les choses, demain sera-t-il en rupture ou bien une énième déclinaison narrative du monde animal ? J'ai à la fois un peu peur (!! bien dit) et en même temps suis très impatient de savoir...
Je ne discute pas le titre, bien que la "référence" deleuzienne soit assez approximative sachant que le "devenir deleuzien" n'est ni une reproduction, ni une imitation... et toc ! De toute façon, on n'est pas là pour parler de ça !
;) C'est bien de lire ses images. J'ai dans mes archives des chiens , des petits clebs parce que je leur dis bonjour dans la rue , comme Vian :
RépondreSupprimer"
J'avise un chien dans la rue
Je lui dis: comment vas-tu, chien ?
Croyez-vous qu'il me répondrait ? Non ?
Eh bien il me répond quand même
Et ça ne vous regarde pas
Alors quand on voit des gens
Qui passent sans même remarquer les chiens
On a honte pour leurs parents
Et pour les parents de leurs parents
Parce qu'une si mauvaise éducation
Ca demande au moins...et je ne suis pas généreux
Trois générations, avec une syphilis héréditaire
Mais j'ajoute pour ne vexer personne
Que bon nombre de chiens ne parlent pas souvent."
Mais enfin, nous n'étions pas là pour parler de ça. Alors, demain, animal ou pas ?
Sylvie