C'est celles ci que je préfère. Là où il n'y a rien regarder. C'est l'ensemble qui me fait partir des l'instant ou je la vois. Quand au vent c'est absolument anecdotique. Finalement, je me dis que je préfère, plutôt qu'un titre, un texte qui raconte quelque chose, qui superpose un regard plus qu'il le dirige. La voiture dans l'impasse n'est pas mal non plus. Note, que je ne dis pas "l'impasse" qui est trop connotée (c'est mon point de vue, et je le respecte…) alors que la voiture dans l'impasse, je préfère. On commence à neutraliser les images trop évidentes. Donc, quand le titre s'allonge on le met dessous et c'est autre chose. Et ça je ne sais pas le faire, mais j'aime bien ceux qui le font.
Oui, il n'y a rien à regarder et en même temps il y a beaucoup... Le vent anecdotique...? Je ne le pense sincèrement pas. C'est un élément du paysage, quasi-invisible, et le dire permet de ne pas l'oublier... La tramontane puisqu'il s'agit d'elle n'est quand même pas n'importe quel vent ;-) Les titres et les légendes ? On peut s'en ennuyer, mais j'aime bien essayer de trouver ce qui passe dans la photo, ou en moi regardant la photo, ou en me souvenant plus simplement... un mot, un groupe de mots... Dessus/dessous ? pas important en ce qui me concerne.
Il n'y a rien à voir, mais tout à regarder. Les lignes graphiques des hautes herbes, le détail délicat des branchages, et la montagne au loin dont les arbres répondent en écho à celui du premier plan. La boucle est bouclée, le regard ne peut sortir du paysage et on reste là, à écouter le vent, à expérimenter la force étrange des espaces sur nos émotions et sensations.
Je précise, quand je dis : "c'est l'ensemble qui me fait partir quand je la vois", je devrais dire, pour être plus clair, c'est l'ensemble qui me fait réver (partir ailleurs). Pour voir et regarder, dans ce cas je préfère voir à regarder justement pour ne pas me laisser enfermer par le cadre et pouvoir au contraire faire le chemin hors champ et laisser libre cours à mon imagination. Quand au vent, ok, ok c'est la Tramontane. Un truc exotique qui tourne boule les affects des indigènes et décoiffe ce qui ont encore des cheveux (je m'en fous je ne suis pas concerné) pas plus quoi. Là où j'habite c'est tout juste si on ressent les effets du vent d'Autan alors la Tramontane c'est un peu loin. Et pour les titres je dois dire que je ne suis pas dogmatique, de toute façon c'est l'image que je regarde en premier.
C'est celles ci que je préfère. Là où il n'y a rien regarder.
RépondreSupprimerC'est l'ensemble qui me fait partir des l'instant ou je la vois.
Quand au vent c'est absolument anecdotique.
Finalement, je me dis que je préfère, plutôt qu'un titre, un texte qui raconte quelque chose, qui superpose un regard plus qu'il le dirige.
La voiture dans l'impasse n'est pas mal non plus.
Note, que je ne dis pas "l'impasse" qui est trop connotée (c'est mon point de vue, et je le respecte…) alors que la voiture dans l'impasse, je préfère. On commence à neutraliser les images trop évidentes.
Donc, quand le titre s'allonge on le met dessous et c'est autre chose. Et ça je ne sais pas le faire, mais j'aime bien ceux qui le font.
Oui, il n'y a rien à regarder et en même temps il y a beaucoup...
RépondreSupprimerLe vent anecdotique...? Je ne le pense sincèrement pas. C'est un élément du paysage, quasi-invisible, et le dire permet de ne pas l'oublier... La tramontane puisqu'il s'agit d'elle n'est quand même pas n'importe quel vent ;-)
Les titres et les légendes ? On peut s'en ennuyer, mais j'aime bien essayer de trouver ce qui passe dans la photo, ou en moi regardant la photo, ou en me souvenant plus simplement... un mot, un groupe de mots... Dessus/dessous ? pas important en ce qui me concerne.
Il n'y a rien à voir, mais tout à regarder. Les lignes graphiques des hautes herbes, le détail délicat des branchages, et la montagne au loin dont les arbres répondent en écho à celui du premier plan. La boucle est bouclée, le regard ne peut sortir du paysage et on reste là, à écouter le vent, à expérimenter la force étrange des espaces sur nos émotions et sensations.
RépondreSupprimerJe précise, quand je dis : "c'est l'ensemble qui me fait partir quand je la vois", je devrais dire, pour être plus clair, c'est l'ensemble qui me fait réver (partir ailleurs).
RépondreSupprimerPour voir et regarder, dans ce cas je préfère voir à regarder justement pour ne pas me laisser enfermer par le cadre et pouvoir au contraire faire le chemin hors champ et laisser libre cours à mon imagination.
Quand au vent, ok, ok c'est la Tramontane. Un truc exotique qui tourne boule les affects des indigènes et décoiffe ce qui ont encore des cheveux (je m'en fous je ne suis pas concerné) pas plus quoi.
Là où j'habite c'est tout juste si on ressent les effets du vent d'Autan alors la Tramontane c'est un peu loin.
Et pour les titres je dois dire que je ne suis pas dogmatique, de toute façon c'est l'image que je regarde en premier.