Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...


15/03/2011

04_2009-175

          
     
    
         

3 commentaires:

  1. Minéral, végétal, "animal". Nature et culture. Cadrage au cordeau. Rien à (re)dire. Impeccable.

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  2. Ah mais si, il y a à dire ;-).
    Sérieusement, au-delà de la réussite formelle, cette photographie illustre la chance du photographe, peut-être ce que l'on quête réellement. On a beau dire, on a beau faire, la part de chance dans la rencontre est magnifique, le cadeau. Tu aurais pu être là quand un gros monsieur passait, ou bien une femme avec un joli bob touriste...Mais non, tu es là précisément quand cette gamine , visiblement plus légère qu'une plume , épaisse comme un oiseau, passe, quand le vent souligne le tissu si léger de sa robe contre la force des Dr. Martens. Cette silhouette est toute une poésie et tu as su la saisir.
    Un superbe moment.

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  3. Patrick, Anonyme,
    Vos deux "points de vue" vont dans le même sens. Ce qu'écrit Patrick est le résultat de ce qu'évoque Anonyme ;)
    La part de chance... oui, mais aussi l'idée quand on est à cinquante mètres de la scène, dans les épineux et la rocaille, dans un environnement de ruines incertaines, que quelque chose peut se passer là et y aller prestement en espérant que l'oiseau ne s'envole pas encore, pas trop tôt, du haut de ce mur.
    Je n'avais pas regardé cette photo depuis qu'elle a été faite, et aujourd'hui je pense qu'elle est bien "pleine" de ce que fut ce moment-là, une épiphanie comme on en vit parfois.

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