Le noir et blanc donne à cette photo un côté étrange, presque trompeur, un quelque chose d'un paysage enneigé avec, au fond, le cyprès en trompe-l'œil d'un clocher sur ce qui pourrait être une église de village à la Chagall ! Cette première impression, fugitive, ne résiste bien sûr pas longtemps mais je la livre à tout hasard, curieux de savoir ce que l'immédiateté d'une perception peut avoir de subjectif ou de partageable...
Patrick, Bruno Vous faites bien de parler plus ou moins directement de lumière. Il s'agit pourtant beaucoup de cela en photographie... mais on l'oublie un peu, on prend l'habitude de faire avec, d'y être sensible sans voir que si la lumière, ce jour-là, avait été différente, eh bien nous n'aurions pas fait cette photo. Une sorte de faux détachement.
Christian Ah oui "le Bourdigou"... il me faudrait bien replonger un jour dans ces années-là, les années soixante-dix, pour en extirper les négatifs (ce qu'il en reste) tous faits maison, le film acheté puis bobiné au mètre, et toute la/l'al chimie derrière... Pour ceux qui ne connaîtraient pas cette petite "histoire" bien plus importante que la grande, on peut se faire une idée en allant là http://cailloutendre.unblog.net/?p=1371
Le noir et blanc donne à cette photo un côté étrange, presque trompeur, un quelque chose d'un paysage enneigé avec, au fond, le cyprès en trompe-l'œil d'un clocher sur ce qui pourrait être une église de village à la Chagall ! Cette première impression, fugitive, ne résiste bien sûr pas longtemps mais je la livre à tout hasard, curieux de savoir ce que l'immédiateté d'une perception peut avoir de subjectif ou de partageable...
RépondreSupprimerPatrick peut-être que cette impression "étrange" n'est due qu'à cette belle lumière d'hiver froide et claire.
RépondreSupprimerCa me rappelle les cabanes du Bourdigou…
RépondreSupprimerPatrick, Bruno
RépondreSupprimerVous faites bien de parler plus ou moins directement de lumière. Il s'agit pourtant beaucoup de cela en photographie... mais on l'oublie un peu, on prend l'habitude de faire avec, d'y être sensible sans voir que si la lumière, ce jour-là, avait été différente, eh bien nous n'aurions pas fait cette photo. Une sorte de faux détachement.
Christian
Ah oui "le Bourdigou"... il me faudrait bien replonger un jour dans ces années-là, les années soixante-dix, pour en extirper les négatifs (ce qu'il en reste) tous faits maison, le film acheté puis bobiné au mètre, et toute la/l'al chimie derrière...
Pour ceux qui ne connaîtraient pas cette petite "histoire" bien plus importante que la grande, on peut se faire une idée en allant là http://cailloutendre.unblog.net/?p=1371