Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...


31/10/2012

L'attente (17)


Kadıköy / Haydaparşa Gari - mars 2009
      
  

30/10/2012

Le regard

  
Paris XII - samedi 19 mai 1984

Publié dans Libération n°1598 daté du jeudi 10 juillet 1986, p. 33
  
(also as #134#)
        

28/10/2012

26/10/2012

23/10/2012

No direction home


Ioanina - mars 2009
    
 

21/10/2012

This land is my land

       
Château-Roussillon, décembre 2011
   
  

19/10/2012

Le secret de polichinelle


Thessaloniki - mars 2009
       

17/10/2012

Un homme remarquable


Le Barcarès - septembre 2012
   
 

15/10/2012

Drôle d'endroit pour une rencontre


Octobre 2011 / Un village français

      

12/10/2012

Café Sola

       
Café Sola - septembre 2012

 

10/10/2012

Paradis perdu


Portbou
    
Dimanche 7 octobre 2012
C'est une photographie récente. Une photographie pour laquelle je n'ai eu aucune hésitation, ni lors du déclenchement, ni ensuite à la lecture dans son évaluation.
Comment dire l'évidence de mon émotion et dans le même temps la souffrance de la disparition. L'impression douloureuse de revenir, périodiquement, sans cesse, à ce manque.
Alors la photographie deviendrait inutile. Toute photographie en regard de celle-ci ne vaudrait pas la peine d'être prise. Il faudrait arrêter puisqu'à chaque fois il ne s'agirait que de faire ressurgir ce qui a disparu.
Je n'ai plus, par instant, que le désir de laisser l'appareil photo de côté et de m'assoir sur le rivage. Les Albères plongent en Méditerranée, aucun vent ne trouble la surface des flots et la jeune fille est là. Sans elle tout ceci n'existe pas.
  
      

07/10/2012

Les escaliers de la gare

      
 
Portbou - dimanche 18 mai 2008

Portbou et son alter ego frontalier Cerbère me sont devenus, au fil du temps, des endroits familiers.
Peu ou pas grand chose à voir, en tout cas rien de grandiose. 
C'est peut-être ça d'ailleurs, avec cette frontière et ses contrôles épisodiques mais quelquefois agressifs, avec ces deux gares terminus où les trains de marchandises se forment, des gares qui concentrent, peut-être de manière illusoire, à peu-près toute les activités locales, qui me font y revenir assez souvent alors que je n'ai rien à y faire.
On croise dans ces gares des individus improbables, certains ballottés d'un endroit à peine connu à un autre inconnu, toujours en transit quelque part, d'autres en voyage sans but... des histoires de travail, de combines, de familles éclatées. On parle un peu n'importe quelle langue, on essaie juste de se comprendre un peu, de ne pas se tromper de destination. On profite du buffet de la gare de Portbou toujours accessible pour una ración de tortilla con patatas, que l'on prendra au milieu d'ouvriers de la RENFE, du bruit des machines à sous et de la vie dans cette solitude tout alentour.
De la gare, seul un escalier plonge au cœur du village.
     
           

04/10/2012

Grand Rue

     
Dimanche 2 octobre 2011 / Un village français
    
     

02/10/2012

Paysage pour pleurer

    
Automne 2011