Le reflet est une bonne façon de parler de la globalisation. Autant que l'objet lui-même de la scène intérieure, on y voit sa diffusion et son échappée vers l'extérieur, et on y voit aussi l'observateur qui, qu'on le veuille ou non, ne peut rester étranger à ce qu'il montre et est aussi partie prenante de cette circulation (jusqu'à celle des images elles-même et de leur indifférenciation, ce qu'on pourrait appeller leur "thermalisation").
C'est parfaitement dit/écrit, trois voies explorées et mises à plat... mais à utiliser avec modération et circonspection sous peine de tomber dans le procédé... à moins que ce soit ce que l'on souhaite.
Le reflet est une bonne façon de parler de la globalisation. Autant que l'objet lui-même de la scène intérieure, on y voit sa diffusion et son échappée vers l'extérieur, et on y voit aussi l'observateur qui, qu'on le veuille ou non, ne peut rester étranger à ce qu'il montre et est aussi partie prenante de cette circulation (jusqu'à celle des images elles-même et de leur indifférenciation, ce qu'on pourrait appeller leur "thermalisation").
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