Paris XII - samedi 19 mai 1984
Publié dans Libération n°1598 daté du jeudi 10 juillet 1986, p. 33
(also as #134#)
30/10/2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
skip to main |
skip to sidebar
Traces photographiques
Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...
Libellés
- arbres
- au fil des jours...
- autoportrait
- barcelona
- bergerac
- berlin
- choses vues
- cinéma
- espagne/portugal
- filles
- grèce
- histoire(s)
- horses
- ici
- l'attente
- la jonquera
- lieux
- littoral
- littoral/hiver
- méditerranée
- minéral
- paris
- paysage d'ici
- paysage frontalier
- paysage ordinaire
- petit paysage en noir et blanc
- point(s) de vue
- sicile/italie
- street photography
- sur la route...
- tunisie_2005
- turquie
- végétal
L'AUTEUR
Derniers commentaires
Il y a une mécanique très intéressante dans cette image. Le regard est d'abord "aspiré" vers le visage, sans détour, effet immédiat. Le deuxième niveau de lecture fait apparaître très rapidement une succession de plans. Morison évident à "lire" et où l'œil doit faire un petit effort pour ne pas se perdre. Est-ce que ça sert le/un propos, je ne sais pas, mais c'est un style de construction que j'affectionne particulièrement. Désolé de "réapparaître" sur ce blog de façon un peu abrupte.
RépondreSupprimerOui Christophe :-) il y a le regard et la bouche carminée qui laissent à penser que ce blouson de cuir ne la laisse pas indifférente.
SupprimerEt ce visage est encastré dans des plans/objets dont j'ai mis du temps à admettre qu'ils ne nuisaient pas (je crois) à l'impression initiale. La jeune fille semble émerger d'une multitude (il semble bien que du monde avoisine le couple) et se défaire d'un serpent Loch Ness pour ne voir que lui, l'autre, dont on ne sait rien de son regard sur elle.
Cette photographie est ancienne, mais cela ne me dérange pas, je pourrais la refaire aujourd'hui...
Ce visage me rappelle un film " Le temps des cigognes "tres beau film
RépondreSupprimerC'est une superbe photographie, aussi pour une autre raison que sa construction à mes yeux : le flou dans le mouvement de la jeune fille, comme capturée dans une danse-échange avec celui qui la regarde. Cette fausse imperfection m'attire et me captive bien plus.
RépondreSupprimerSylvie
C'est étrange que cela m'apparaisse maintenant, peut-être à lire les commentaires qui réveillent la vision, mais j'ai l'impression que des photographies prises il y a un certain temps (oups !) et classées "définitivement" dans une catégorie "montrables" on oublie un peu ce qui les constitue, ce qui a guidé notre choix et qui en faisait l'intérêt à nos yeux.
RépondreSupprimerDes difficultés à en parler, éventuellement à les défendre ou à les vanter tant elles font partie de ce que nous sommes comme photographes.
---
Oui ça n'est pas très clair tout ça...