La position du chien m'a effectivement fait m'arrêter et puis cette lumière étrange aussi. Les chiens d'Istanbul sont assez surprenants, déambulant souvent par groupes en sorte de meutes clopinantes, hétéroclites, avec blessés ou invalides... quand ils ne dorment pas en plein jour - les approcher de trop près m'a permis de voir que des dentitions parfaites - n'importe où, ils se traînent comme des armées en déroute. Celui-là, caste supérieure, sur son paillasson avec, dans la nuit tombée, l'éclairage public diffus, était presque irréel... les passants s'arrêtaient un instant puis repartaient. Le titre ? :-) rien d'autre que le nom de la rue où se déroulait cette scène.
Sur le paillasson...Mais pas sur l'un des beaux tapis que la vitrine laisse voir. Cette opposition, comme la lumière et la quiétude tout temporaire du chien invite encore à regarder. Sylvie
La position du chien est surprenante presque comme lové comme un humain c'est ce que dit la photo
RépondreSupprimerPar contre le titre no comprendo ..
H
La position du chien m'a effectivement fait m'arrêter et puis cette lumière étrange aussi.
RépondreSupprimerLes chiens d'Istanbul sont assez surprenants, déambulant souvent par groupes en sorte de meutes clopinantes, hétéroclites, avec blessés ou invalides... quand ils ne dorment pas en plein jour - les approcher de trop près m'a permis de voir que des dentitions parfaites - n'importe où, ils se traînent comme des armées en déroute.
Celui-là, caste supérieure, sur son paillasson avec, dans la nuit tombée, l'éclairage public diffus, était presque irréel... les passants s'arrêtaient un instant puis repartaient.
Le titre ? :-) rien d'autre que le nom de la rue où se déroulait cette scène.
Commme je suis jalouse des gens qui ont une écriture qui coule de source ....Il est vrai que la lumiere apporte une note de plus .
RépondreSupprimerMettre un mot après l'autre n'est pas simple. Dire simplement non plus, c'est un exercice souvent plein d'hésitations...
SupprimerSur le paillasson...Mais pas sur l'un des beaux tapis que la vitrine laisse voir. Cette opposition, comme la lumière et la quiétude tout temporaire du chien invite encore à regarder.
RépondreSupprimerSylvie
Ah oui, c'est vrai que j'avais un peu oublié, te concernant... les chiens ;-)
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