Perpignan, dimanche 3 novembre 2013. On parle à tort et à travers de "feuilles de route", lesquelles ne sont jamais respectées. Ce sont des leurres qui laissent ou espèrent laisser croire que quelque chose va se passer, avec certitude, selon une chronologie bien établie, on va voir ce qu'on va voir !... en définitive, rien. Ce dimanche de Toussaint, je retrouve une feuille déchirée d'un cahier, et néanmoins gardée (pourquoi ?) où j'avais récapitulé ce qui nous était arrivé d'accidentel ou de dramatique durant la période octobre 2011 - février 2012. Une sorte de feuille de route qui fut exécutée, celle-là. Une feuille de route à-postériori en somme.
Lorsqu'on a suivi les événements de cette période, avec un temps de décalage, par blog ou verre interposés, il n'est pas bien difficile de mettre ces notes en regard de ce qu'il s'est passé. L'image est poignante et je pense bien à toi. Amitiés C.
Lorsqu'on a suivi les événements de cette période, avec un temps de décalage, par blog ou verre interposés, il n'est pas bien difficile de mettre ces notes en regard de ce qu'il s'est passé. L'image est poignante et je pense bien à toi.
RépondreSupprimerAmitiés
C.
Merci Cédric... je n'ai jamais aimé l'hiver, mais aujourd'hui encore moins qu'hier.
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