Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...


07/04/2011

07_2009-244* / Les claquettes

                     
            
         

3 commentaires:

  1. Quel clin d'oeil à Martin Parr !
    Ce n'est pas seulement l'usage du flash qui me fait dire cela, le sujet et son environnement aussi.
    Le plus, à mon avis, c'est le flou de mouvement qui suggère l'urgence, absente chez M.P.

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  2. Impression bizarre... Par le parapluie surtout, on est presque dans de la photo redessinée (un peu à la Frédéric Boilet), avec à la fois du très net et du flou (flash ?). Et sinon, Marilyn et les pin-ups, elles sont où, là ?

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  3. L'orage estival, un déluge, une ruelle avec peu sinon aucun passant, fin d'après-midi.
    Cet homme, pressé par la pluie (visible), arrimé à son parapluie comme à une bouée, subissant l'échine courbée la colère des dieux...
    Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour réfléchir, et si j'en avais eu je n'en aurais rien fait (!), alors un coup d'open-flash (la raison peut-être d'y voir une photo redessinée - mais ça n'est vraiment pas mon rayon) pour essayer d'attraper un peu cet ensemble (avec les graffs des rideaux de fer baissés) et voir "de quoi auront l'air les choses une fois photographiées" (G. W.)

    Charles, du M. P. ? surtout en restant très raisonnable du A. P., ça je peux le certifier...
    Patrick, Marilyn et les pin-ups ? oui, eh bien réflexion faite... j'ai beaucoup de mal avec ce genre peu personnel et je crois assez simpliste et réducteur... et puis ce blog survit, mais sans plus.

    Merci à vous.

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