Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...


12/02/2011

10_2006-10

         
 
       

3 commentaires:

  1. Retour le 12 de la photo du 10 (quid du pochoir du 11 ?).
    L'hésitation de celui qui poste s'apparenterait-elle à celle de celui qui lit, qui à la fois aime (parce que, bien sûr, les couleurs, et aussi ce je ne sais quoi de familiarité avec l'ambiance, chambre d'amis au matin ou hôtel de passage) et ne sait pas trop quoi en dire de plus ?

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  2. Oui Patrick, hésitation... pas sur la photo proprement dite (il y en a des comme ça pour lesquelles on ne doute pas, même si c'est à tort !) mais sur sa publication... et celles d'autres qui suivent aussi.
    Des photos qui finissent par être trop simples et par suite si évidentes qu'il n'y en a, comme tu l'écris, rien à dire sinon rien à penser... c'est peut-être ça après tout une "bonne" photographie. Simple, épurée à l'extrême, personnelle dans le sens où on peut - le lecteur - se l'approprier, s'y fondre...
    En tout cas, oui... chambre d'amis, chambre de transit.

    Le pochoir reviendra (bientôt !) mais il pouvait être mal compris... il faudra que je donne "mon" mode d'emploi pour cette photo pas très éloignée mais si différente d'une semblable (pochoir, affiche) qui aurait pu lui ressembler... de loin seulement.

    Ces retraits remis c'est aussi une hésitation sur la crainte d'être mal compris, le risque que le propos soit faussé... mais bon, on verra bien... après tout !

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  3. Le vide renvoie au plein, comme en sculpture.

    Rien à dire.. et pourtant si familière, si proche de chacun de nous, si personnelle. Nous avons tous fait la même, et elles se confondent toutes dans nos inconscient collectifs.

    Banale (dans le sens :"qui se met à la disposition de tout le monde") et universelle, encore..

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