Et puis funambulist ... mais aussi aux portes de l'oubli, et en fin de compte qui est actuellement en mode veille...


14/02/2011

01_2006-01

         
                  
               

2 commentaires:

  1. J'ai assez souvent critiqué les photos de pochoirs, d'affiches même, quelques fois... Alors pourquoi faire cette photo et puis la garder et enfin la montrer... provocation ? Non !
    D'abord qu'elle soit de traviole, avec son montant de porte indiquait bien qu'il s'agissait d'un mur d'habitation (pas un de ces murs "pour graffeurs" comme il en existe d'autres exclusivement "d'escalade"...).
    Le mur choisi pour sa couleur (oui, une photo couleur), sa granulosité et le pochoir... très approximatif, on peut dire un peu loupé. Et justement sa trace m'est apparue plus émouvante qu'un beau Miss-Tic dans une galerie parisienne. Et puis c'est un visage de femme, le visage est brisé, la femme l'était peut-être aussi...
    Comme pour l'autre photo (pendus/morpions) la rue est le territoire d'expression... il en a d'autres possibles, cela existe, des photos ;-) grossièrement photocopiées, à peine encollées, sur un parcours qui ne doit rien au hasard... et le promeneur, il passe, il pense à quelque chose ou à rien, et puis un jour il finit par remarquer ce qu'il a sous le nez chaque jour, et il se dit tiens c'est/ce n'est pas intéressant, et puis il va voir comment ces traces vont disparaître et alors il s'apercevra qu'il y était devenu très attaché...
    Bon j'ai pas mal dévié de ce que je voulais dire, de mon intention première... mais ça n'était de toute façon pas clair, du tout.

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  2. Pas tant dévié que ça... et tu réponds à l'interrogation que je posais sous la photo précédente, à savoir le suivi dans le temps, de la trace à la disparition, et parfois l'absence qui fait ressurgir ce que, par habitude, on avait fini par ne plus voir.

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