Le Barbizon (1)
Le Barbizon ... C'est une histoire que l'on ne peut raconter en un seul billet tant elle comporte de ramifications, tant son histoire rhizomique nous emmène très loin, là où était le cinéma originel.
Sur le site du Barbizon, l'histoire s'arrête en 2006, l'année où les contraintes économiques faisaient de nous (M. et moi) des expat's définitifs (enfin, on ne sait jamais !). Depuis j'ai perdu de vue le Barbizon, comme on oublie un peu les outrances d'une jeunesse passée.
Qu'est devenu le Barbizon ?
Le Barbizon (2)
J'avais, un jour de représentation "alternative", fait quelques photographies en numérique (E4500). Je me souviens que la salle était très froide, c'était l'hiver, sans chauffage (il avait été recommandé de se munir de vêtements chauds qui hélas ne suffirent pas à compenser l'air glacial qui s'infiltrait par toutes les ouvertures - on n'était pas loin d'un cinéma aux étoiles).
Je ne peux dater cette séance de projections. Le fichier exif indique le 8 novembre 2003, alors que l'agenda, sur le site du Barbizon, indique le 15 ou le 29 novembre 2005 pour ce qui était une séance dont, par contre, j'ai le souvenir précis de la programmation. Les films étaient ceux de membres de l'Abominable (le labo minable - qu'est-il donc devenu l'Abominable ?), avec entre autres Pip Chodorov et Nicolas Rey (j'ai parlé un jour... sur un blog sans doute, de son film "Les soviets plus l'électricité" que j'ai eu le privilège et le plaisir de voir deux fois - sur google, si l'on recherche des renseignements demander "nicolas rey cinéaste"). D'ailleurs Nicolas Rey était là, d'où ma certitude. Alors, pour la date... 2003... 2005... allons-y Alonso !
Voilà voilà... ça n'a sans doute pas intéressé grand monde, mais cela m'a fait plaisir de vous le dire.
P.S. Un site qui peut vous intéresser : p_cote
J'espère ne pas te surprendre en te disant que le plaisir est partagé ! Évoquer ces lieux improbables et sans doute disparus, c'est faire remonter à la mémoire le souvenir de salles presque en kit et d'un cinéma "matériel", concret, fait de grosses bobines, de projecteurs ronronnants et d'écrans aux ombres chinoises ("Au fil du temps", etc.). Merci aussi pour les liens vers ces territoires inconnus où j'irai flâner plus tranquillement quand j'aurai une meilleure connexion internet que cette semaine...
RépondreSupprimersi, si Alain, ça m’intéresse des petites histoires (souvenirs) comme celle-ci. Il faut les raconter.
RépondreSupprimerEh bien, si toi aussi tu te mets à faire dans la nostalgie cinéphilique, voilà une seconde bonne raison pour que je contrebalance vos idées noires (je viens juste de poster un commentaire chez Patrick au sujet de son dernier article) Je réagis par une petite suite à voir chez moi…
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