Tavira - mai 2010
Tavira estaçāo.
Deux personnages de bronze (?) se font un signe d'au revoir ou d'adieu, on ne sait pas encore.
On passe en ne les voyant pas ou ne voyant qu'un des deux. Alors on oublie cette guerre coloniale d'Angola et les morts qui l'accompagnèrent... mais l'on n'a pas d'excuse, le soldat est bien là, et pour un bon moment, et sa belle aussi. D'ailleurs tout le temps que je resterai là, à les regarder et à les photographier, pas un ne fera un pas qui les séparerait un peu plus, peut-être pour toujours, l'un de l'autre.
C'était la guerre. Il allait y avoir la Révolution des Œillets, et avec elle, peu après, l'indépendance de l'Angola.
Tres beau moment
RépondreSupprimerLe texte ajoute encore plus d’émotion merci
Il faut essayer de voir "juste" dans ce genre de photographie. Ne pas tromper le client, être sincère et que cela se sente... merci Hélène !
Supprimer